Ce matin, nous étions réunis pour rendre hommage aux Harkis et aux autres membres des forces supplétives ayant servi en Algérie.
C’est toujours avec une grande émotion que je vis ce moment et mes pensées vont à ces familles d’anciens harkis, menacés en Algérie, qui ont pu rejoindre la métropole en 1962 et que nous n’avons pas su accueillir dignement.
Une loi de « reconnaissance et de réparation » est enfin votée, mais très insuffisante au regard des drames que ces familles ont traversés. Je regrette que nous n’ayons pas été plus nombreux à leur rendre hommage et remercie la dizaine de personnes présentes.
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